J’ai assisté les 1^er et 2 avril, à St Orens de Gameville (31), au jugement des séries sonorisées  suite à ma première participation à cette compétition nationale.

77 concurrents en lice (76 vs moi) ! Pas une mince affaire pour les 4 juges convoqués par Jean Marc Fiancette, commissaire de cette catégorie : deux hommes diaporamistes et deux femmes artistes peintres, un bel équilibre des compétences techniques et esthétiques pour permettre à chaque série d’être appréciée à sa juste valeur

Le jugement s’est déroulé en quatre séquences d’environ deux heures chacune. Dans une salle de l’Espace Marcaissonne, mise à la disposition du club organisateur, une installation technique (son et lumière) de très grande qualité et un écran «  king size » prêté par Albimage, ont  assuré des conditions optimales de confort de projection.

Les juges, bien briefés par le commissaire, ont dû remplir leur fonction selon un timing assez serré - 4 mn maximum de projection par série et autant pour remplir les (nombreuses) cases de la grille d’analyse- mission accomplie, suivie d’une longue délibération à huis clos.

Les résultats ont été proclamés à un public, assez nombreux en cette fin de samedi après midi, en présence de Myriam Rivals, vice-présidente de la FPF et présidente de l’UR 9, et d’un représentant de la municipalité, annonce suivie d’un échange avec les juges et de la projection des 5 meilleures séries. Je ne figure pas dans le top 5, mais tous les espoirs sont permis !

La manifestation s’est achevée autour du pot de l’amitié.

En dehors du stress de la compétition ( !) nous avons passé deux jours infiniment agréables grâce à un accueil chaleureux des « autochtones » vis-à-vis des « étrangers » que nous étions. A ce propos, on peut quand même regretter que davantage d’étrangers ne se soient pas déplacés pour assister au jugement de cette catégorie de l’audiovisuel !

Les juges en action...

Danièle Cayla